(litt.: On t’aime tant que tu marches. Si tu tombes malade, on te laisse devant la porte) On veut de l’homme tant qu’il est en bonne santé et qu’on peut en tirer profit
People want you as long as you are in good health and useful
NOTE THAT THERE ARE SOME PICTURES HERE THAT MIGHT BE OFFENSIVE SO BRACE YOURSELF
1. EBOLA IS A DEADLY INFECTION
Ebola is a deadly infection that shows up between 2 and 21 days after one is infected. it damages the immune system. It damages body organs all these will happen in weeks. It mostly results in death up to 90%. Cases have been recorded in these African countries: Congo (DRC), Sudan, Gabon, cote d’ voire, Uganda, Liberia, Sierra Leone, 1 case in Nigeria.
2. EBOLA DOES NOT KILL EVERYONE THAT GETS INFECTED
Not all persons that had got infected with the disease resulted in death. There had been cases where some patients did not die as a result. Scientists do not really know why that happened, but the explanation is that their body immune system was able to fight it somehow. Know that fatality is up to 90%.
Giraffids–extinct and extant (painting by Mauricio?)
The Giraffoidea are a superfamily of artiodactyl mammals. They first evolved in the Miocene and they share a common ancestor with the deer and antelopes (and a slightly more distant common ancestor with hippos, pigs, and cows). Once the giraffes were numerous and mighty—twenty different genuses of these huge long-necked grazers spread throughout Eurasia and Africa. There were giraffids of all sizes and sorts—magnificent creatures bristling with hornlike ossicones and flourishing their long black tongues! But in the modern world the once-great family has shrunk down to two single species. The giraffe (Giraffa camelopardalis) is well known and features prominently in all sorts of cartoons and literature. The other last giraffe—the forest giraffe (more commonly known as the okapi) is much more obscure and was not known to science until 1901.
Le bonobo est un petit chimpanzé endémique du Congo vivant sur un territoire compris entre la rivière Congo et la rivière Kasaï. Il vit en groupe pouvant contenir jusqu’à une centaine d’individus.
Le bonobo est une espèce en danger sur la liste rouge de l’UICN. Sa population est estimée entre 25 000 et 50 000 individus. Il est principalement frugivore (fruits) et folivore (feuilles) et insectivore à l’occasion. Il se tient beaucoup plus souvent (environ 2 fois plus) debout sur ses membres antérieures que les autres primates.
Il mesure de 70cm à 1m. Sa durée de vie varie entre 40 et 60 ans, selon qu’il vive dans la nature ou en captivité. Le mâle pèse environ 45kg et la femelle environ 30-35kg. Il a la particularité de régler les conflits par des actes sexuels, réels ou simulés. Il est interdit de le chasser ou pour les particuliers de le détenir en captivité, bien qu’il soit souvent chassé pour sa viande. Il est intelligent. D’ailleurs, l’individu le plus connu, Kanzi, est célèbre dans le monde pour sa capacité à utiliser le langage des humains.
1914 – Beginning of the First World War opposing the Triple Entente (France, UK, Russia and others) to the Triple Alliance (Germany, Austria–Hungary and Italy) in a war that will last over 4 years
Environ 13 500 Congolais sont expulsés, depuis deux semaines, de Pointe-Noire, dans le cadre de l’opération Mbata ya Mikolo (traduisez en français : gifle des aînés), menée par la police du Congo-Brazzaville. Le coordonnateur de la société civile du Bas-Congo, Valentin Vangi, a indiqué samedi 19 juillet, que ces expulsés sont enregistrés à la
Environ 800 pygmées ont, depuis quelques jours, abandonné leurs localités pour se réfugier à Kabalo-centre, à plus de 1000 km de Lubumbashi (Katanga). Ils fuient les attaques attribuées à une milice des jeunes bantous qui brulent leurs habitations. Des auteurs de ces assauts portent des jupes cousues en raffia, des gris-gris autour des cous et des armes composées de flèches empoisonnées, selon des sources locales.
« Le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » disait Albert Einstein. La phrase résonne comme une prophétie ayant trouvé sa réalisation dans le destin d’un peuple, d’un pays : la République démocratique du Congo. Ici des souffrances indicibles sont infligées à des millions d’innocents depuis deux décennies dans un silence assourdissant des grands médias et des principaux décideurs politiques du monde. Un silence qui en rappelle un autre, il y a un peu plus d’un siècle. Entre 1885 et 1907, les Congolais furent l’objet d’un effroyable massacre à grande échelle, à l’instigation du roi des Belges de l’époque, Léopold II. L’enjeu, c’était le caoutchouc, indispensable à la fabrication des pneus. Aujourd’hui, l’enjeu s’appelle « coltan », « minerai de sang », indispensable à la fabrication de…
Kadima le Calme et Kadima l’Agité arrangeaient leurs xylophones et les accordaient convenablement.
La chanson de Kadima le Calme faisait comme ceci: « Kadima le Calme, où vas-tu ? Je vais jouer (sur mon xylophone) chez Dieu. Doucement, doucement, où vas-tu ? Je vais jouer chez Dieu, c’est ainsi ! »
La chanson de Kadima l’Agité faisait comme celà: « Vite, Vite où vas-tu ? Je cours chez Dieu pour le chanter. Vite, vite au village de Dieu, Je vais chanter chez Dieu, c’est ainsi ! »
Kadima le Calme partit ; en cours de route, il chantait 1 Dieu, toujours et toujours à sa propre manière (lente), jusqu’à ce qu’il arriva chez Lui. Lorsqu’il était là, il chantait: « Kadima le calme est enfant de Dieu. Je suis venu jouer en l’honneur de Dieu, Doucement, doucement dans le village de Dieu, Je suis venu jouer en l’honneur de Dieu, c’est ainsi ! »
Il jouait toute une journée. Dieu lui dit : « Reste ici pendant quelques jours, mon enfant. Tu es venu chanter pour moi, pour moi ton Père, es-tu en brousse ici 2? Prends tes aises ».
Le quatrième jour, pendant que Lutulu était en train de chanter, vers midi, Dieu l ’appela et lui dit:
« Tu as bien chanté ; attends : je vais te donner un cadeau ».
Dieu entra dans sa maison ; Il lui donna deux mottes de terre. Il dit :
« Lorsque tu arrives dans ton village, appelle tous les gens de chez toi, jette chacune de ces mottes par terre et tu verras ce qu’elles contiennent ».
Lutulu partit et chanta les chefs en cours de route, jusqu’à ce qu’il rentra chez lui. Arrivé là, il commença à jouer du xylophone et à chanter, longtemps. Les hommes arrivaient de toutes parts, même des coins les plus éloignés. Lutulu leur raconta en détail tout ce que Dieu lui avait fait. Il montra ses deux mottes de terre.
Il jeta la première par terre. Des vaches en sortaient par troupeaux entiers, puis des poules, des chèvres, des moutons et tout ce que Dieu a créé. Il jeta la seconde par terre : des femmes en sortaient par rangées entières et des enfants et des jeunes gens 3 en des groupes innombrables. Ils se trouvaient là en longues rangées. Notre homme illustre distribua aux gens du village tous ces biens, tout ce qu’il y avait et en bon ordre. Puis il entra dans sa maison et se reposa en paix.
Kadima l’Agité se dit en lui-même : « Dieu me donnera encore plus qu’à Kadima le Calme ». Il se mit en route avec son xylophone en chantant : « Lubilu, Lubilu, où vas-tu ?
Je vais chanter en l ’honneur de Dieu.
Toi qui ne passes pas la nuit en cours de route 4 où vas-tu ?
Je vais chanter chez Dieu en son honneur, c’est ainsi ! »
En chemin on lui demanda : « Chante, que nous voyions comment tu danses ».
Mais Lubilu ne voulait pas (s’attarder). Tout devait aller vite.
Lubilu arriva chez Dieu. De suite, il commença sa chanson. La chanson finie, il dit à Dieu: « Je n’ai qu’une journée à perdre. Je n’ai pas le temps de rester ici deux jours ».
Le lendemain matin, Lubilu se mit à chanter. Lorsqu’il eut fini, il dit : « Seigneur, donnez-moi mon cadeau que je puisse retourner chez moi».
Dieu ne refusa point. Il entra dans sa maison, sortit avec deux mottes de terre et les remit à Kadima.
Kadima revint et se mit à jouer. Les hommes s’assemblèrent. Notre téméraire 5 montra ses deux mottes de terre.
Il jeta la première par terre: (il en sortit) des abeilles, des mouches, des serpents, des guêpes, grandes et petites. Toutes sortes d’insectes en jaillirent. Il jeta la seconde par terre : des lions, des léopards, des crocodiles, des éléphants et toutes sortes d’animaux sauvages ! Les lions et toutes ces bêtes criaient : « Les hommes ne peuvent pas nous échapper! »
Le lion courait en tuant, les insectes en piquant et en importunant les hommes. Ceux qui surent se sauver s’enfuirent en hurlant.
Lubilu (la Hâte) en était la cause que des gens furent tués sans leur faute. Lutùùlù (la Patience) vaut mieux que la Hâte: La Patience partit et arriva (saine et sauve); La Hâte partit et se cassa la jambe en route. (Patience est mère de Sûreté)
Conte Bakwa Kalonji
Source: Notion de Dieu chez les Balubas du Kasaï
Chanter signifie ici : entonner une chanson, jouer du xylophone et danser. ↩
Tu ne seras pas abandonné sans soins ici = je te donnerai à manger abondamment. ↩
Banungu: hommes cultivés qui peuvent accompagner le chef ou lui servir d’ordonnances. ↩
Banza nkudi est le pendant de Muabilayi: Les deux mots sont des surnoms d’hommes intrépides illustres. Mais Muabilayi l’est dans le bon sens, le héros, le courageux ; Banza nkudi l’est dans le mauvais sens, le téméraire, l’entêté. Le mot provient de lubanza = cour, demeure, et de nkudi = nkuvu = tortue. Têtu comme la tortue sous sa carapace. ↩
1926 – Evariste Kimba Mutombo, Foreign Minister of Katranga State from 1960–1963 then Prime minister of Congo from oct. 1965 – nov. 1965, is born in Congo
Seriously, this is not acceptable. It could have been cute if it just stopped there but the guy wants his land recognized internationally. African should be aware that this situation could open a pandora box. Integrity of African territory is not a joke. Africa is plundered enough as it is and USA is definitely not a stranger to that situation. African people should remain vigilant now more than ever. Plus, I doubt USA would accept an African declaring a part of amerrican desert his! let’s be serious!