Ce documentaire, mélangeant animations et images d’archives, couvre l’histoire du Congo depuis sa découverte par Duarte Lopes jusqu’àa l’avènement de Joseph Kabila… ***CERTAINES IMAGES PEUVENT CHOQUER***
«CONNAÎTRE SON PEUPLE, C’EST CONNAÎTRE SA DESTINÉE.
L’écrivain, romancier et penseur algérien Amin Zaoui, a dit : “La soumission est la matrice de toute dictature. Les peuples soumis croient que la soumission est un destin divin et qu’on ne peut échapper à ses foudres. Ils croient que l’esclavage est une destinée fatale pour le citoyen d’un peuple soumis, depuis la naissance.”
C’EST ICI QUE TOUT PEUPLE SOUS DOMINATION DOIT SE SENTIR INTERPELLÉ, SE POSER DES VRAIES QUESTIONS ET REGARDER VERS LES PROFONDEURS POUR SE LEVER.
S’il y a eu esclavage au Congo avec déportation de ses hommes et de ses femmes, de ses fils et de ses filles, le tout à travers une longue traite négrière;
Si le Congo est devenu la propriété privée de Léopold II pendant 23 ans;
Si le Congo est devenu pendant 52 ans la colonie d’un pays 80 fois plus petit;
Si le Congo est demeuré pendant 32 ans sous la dictature d’un minable petit soldat marionnette des Occidentaux;
Si le Congo vient de dépasser un quart de siècle ou 25 ans sous la domination d’un piètre pays sans envergure, 90 fois plus petit;
Si le Congo a été successivement dirigé par un trafiquant des rues en Tanzanie, marionnette du Rwanda et par un parfait cancre rwandais, garçon des courses en Tanzanie;
Et si actuellement, le Congo est dirigé par un parfait idiot abonné de CPAS de Bruxelles, faussaire de diplôme;
Si sans le moindre répit, le Congo se trouve toujours sous une longue prédation qui ne s’en cache plus et dans une soumission quasi esclavagiste d’un peuple en prison à ciel ouvert pendant plus de 500 ans;
Que dirons-nous ?
EST-CE LE PEUPLE CONGOLAIS, UN PEUPLE DUPE, INCONSCIENT, DOCILE OU SIMPLEMENT UN PEUPLE PRÉDISPOSÉ À LA SOUMISSION ?
La réponse à cette question doit sûrement faire mal à plus d’une conscience, surtout lorsque l’on se croit désintéressé de la politique ou que l’on se croit libre, intellectuel, insoumis, jusqu’à se prétendre résistant, révolté bien qu’évoluant dans une mouture séculaire de soumission. Être désintéressé de la vie politique et de la vie nationale de son pays est un signe caractéristique de la soumission d’un peuple. L’écrivain algérien Amin Zaoui est arrivé à la conclusion dans sa réflexion que tout peuple soumis n’est pas fait pour réfléchir mais pour se fléchir. Car, il n’y a pas de dictateur sans un peuple soumis.
Que dirons-nous donc face à la réalité qui perdure devant nos yeux et qui affecte profondément et totalement nos vies et l’avenir de notre pays et de nos peuples ?
Hier, plongés entre l’unitarisme de façade et le fédéralisme des ethnies, la vérité que personne ne voudrait entendre est que la Belgique, craignant de perdre les privilèges de sa colonie, a crée de toutes pièces des politiciens qui n’ont jamais été des véritables hommes politiques. La Belgique octroyait à la république de sa création tout ce qui lui semblait nécessaire pour garder sa colonie sous sa soumission. C’est la Belgique qui avait “conduit” le Congo de son invention à l’indépendance, même si plusieurs voudraient entendre une autre chanson à la place. C’est encore la Belgique qui a “organisé” la démocratie au Congo. Enfin, c’est la Belgique qui a mis au devant de la scène politique congolaise ses “puppets”. 67 jours après l’indépendance du Congo, le premier gouvernement congolais venait d’être renversé. Main dans la main avec les États-Unis d’Amérique, la Belgique avec l’aide et la complicité des plusieurs politiciens congolais a fait assassiner Patrice Emery Lumumba, son corps et ceux de ses deux alliés dissouts dans l’acide. 5 ans de chaos et de soubresauts politiciens conduiront le Congo au coup d’état du dictateur Mobutu, fantoche marionnette imposée par les Belges et les américains.
Hélas, tout ce qui prime en politique est question de savoir faire danser le peuple à son rythme. Aussi longtemps que l’on fera danser le peuple à son rythme, il est certain que l’on en ferait tout ce que l’on voudrait. Mais la question que nous devrions nous poser en tant que peuple supposé être souverain originaire est de savoir si nous continuerions à danser inlassablement au rythme des fantoches qui se considèrent comme politiciens, mais qui ne seront jamais des hommes politiques et des hommes d’état ?
Avec toutes les élections connues au Congo depuis l’indépendance à ce jour et plus particulièrement face aux trois dernières élections organisées dans le seul but d’imposer au peuple congolais une démocratie au rabais ou une démocrature cachant mal l’entourloupe d’une domination étrangère, je me pose tant des questions que tous les peuples congolais devraient en principe se poser, si pas tous les peuples congolais, mais la grande majorité des peuples congolais, et surtout ceux qui se proclament intellectuels ou cultivés ! Hélas, les Congolais semblent être plongés dans la lassitude politique au point qu’à la longue, ils semblent ne plus avoir d’autre choix que de se résigner et d’accepter leurs conditions comme emportés par la médiocrité qu’ils amplifient nationale et heureuse!
J’ENTENDS PLUSIEURS DIRENT: DEVOIR CIVIQUE, MAIS ÉTRANGEMENT DEVANT MES YEUX S’AFFICHENT CES MOTS: INCONSCIENCE NATIONALE!
EST-CE QUE LES ÉLECTIONS EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO VONT-ELLES CHANGER LA SITUATION POLITIQUE, ÉCONOMIQUE ET SOCIALE DU CONGO OU PEUVENT-ELLES AMÉLIORER LE QUOTIDIEN DES CONGOLAIS ?
Faudrait-il continuer de regarder le théâtre des uns et des autres comme si les Congolais n’étaient pas exterminés, comme si la destinée du Congo était celle de demeurer dans un corridor d’esclaves sans espérance d’être un jour libre ? Même si les uns veulent se persuader que le Congo est démocratique et souverain, les faits et la réalité nous démontrent sans l’ombre d’un doute que le Congo n’est jamais sorti de la domination des marionnettistes occidentaux.
Qui s’est posé la question pour savoir comment le caporal Mobutu est-il arrivé en Belgique avant Lumumba et comment a-t-il fini par se retrouver dans l’équipe de Lumumba à la table ronde ? Et voilà qu’après le chauffeur rwandais de Dar-es-salaam et la petite pègre de la “diaspourrie” accompagnant la potiche aux affaires de l’État, les prétendus résistants et intellectuels de la même “diaspourrie” projettent de nouveau devant les Congolais la candidature de Dr. Mukwege sans qu’aucun d’eux ne se pose la question de savoir d’où est-il sorti et comment a-t-il atterri sur la scène internationale ? Autrefois, l’officier belge Jean Powis de Tenbossche, cousin du roi Baudouin, le colonel Pierre Marlière et Larry Devlin, le chef de poste de l’antenne locale de la Central Intelligence Agency se vantaient dans les couloirs sur leur poulain, aujourd’hui, Louis Michel contemple de loin son poulain et le temps s’approcher pour aller “soigner ou saigner” la RDC.
Entre-temps, les Congolais continuent de chanter et de danser comme toujours!
Mais la question majeure est : Comment peut-on chanter et danser dans cette misère effroyable, devant les massacres récurrents de son propre peuple et surtout en face d’une médiocratie nauséabonde corrompue et traître à la solde de l’étranger ?
QUI IGNORE QUE CES PRÉTENDUES ÉLECTIONS COMME TOUTES LES ÉLECTIONS PASSÉES AU CONGO NE SERONT NI CRÉDIBLES NI LIBRES NI INCONTESTABLES NI TRANSPARENTES NI DÉMOCRATIQUES ?
LA RÉALITÉ EST QUE L’ENNEMI DU CONGO EST LE CONGOLAIS LUI-MÊME. ET PRINCIPALEMENT, LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE.
AU CONGO, L’HISTOIRE NE FINIT JAMAIS DE SE RÉPÉTER!”».
Jean Claude Manzueto
7 février
LES POLITICAILLEURS* ZAIRO-CONGOLAIS A RECHERCHE DE LÉGITIMITÉ La recherche de légitimité
En vue de gommer ses origines illégales, puisque issu d’un coup de force, des élections frauduleuses, d’arrangements pécuniaires obscurs” arrangements à l’africaine “ Des Présidents successifs
• Joseph Kasa-Vubu. (1960-1965)
• Mobutu Sese Seko. (1965-1997)
• Laurent-Désiré Kabila. (1997-2001)
• Joseph Kabila. (2001-2019)
• Félix Tshilombo . (2019-Présent)
Avec des discours démagogiques et des délires politico-racistes, chacun de ces régimes cherchent à acquérir une légitimité politique et constitutionnelle.
AU PLAN POLITIQUE, LE NATIONALISME ÉTANT L’IDÉOLOGIE LA PLUS POPULAIRE, L’ADOPTION DES THÈMES Y AFFÉRENTS A POUR BUT DE DONNER UNE CERTAINE ASSISE AU RÉGIME MILITAIRE, DICTATORIAL, néopatrimonial, prototype de l’État prédateur et anti-développemental
La récupération du mythe Lumumba, proclamé Héros National, les nationalisations des secteurs-clés de l’Economie : Union Minière du Haut-Katanga, eau et électricité, assurances, transports, etc… tous ces éléments entrent dans cette quête de popularité.
Les hommes politiques congolais n’ont “apporté que misère….
«La vie est 10% ce qui nous arrive et 90% comment nous réagissons» – D
«Ce n’est pas seulement l’endroit où l’on va qui donne un sens à la vie, mais aussi la façon dont on s’y rend» – Marc Lévyennis P. Kimbro
*Définition “politicailleur”
n.m. Intrigant qui tente de gagner un avantage dans une organisation de manière sournoise ; politicien arriviste et sans scrupule.
«CONNAÎTRE SON PEUPLE, C’EST CONNAÎTRE SA DESTINÉE.
L’écrivain, romancier et penseur algérien Amin Zaoui, a dit : “La soumission est la matrice de toute dictature. Les peuples soumis croient que la soumission est un destin divin et qu’on ne peut échapper à ses foudres. Ils croient que l’esclavage est une destinée fatale pour le citoyen d’un peuple soumis, depuis la naissance.”
C’EST ICI QUE TOUT PEUPLE SOUS DOMINATION DOIT SE SENTIR INTERPELLÉ, SE POSER DES VRAIES QUESTIONS ET REGARDER VERS LES PROFONDEURS POUR SE LEVER.
S’il y a eu esclavage au Congo avec déportation de ses hommes et de ses femmes, de ses fils et de ses filles, le tout à travers une longue traite négrière;
Si le Congo est devenu la propriété privée de Léopold II pendant 23 ans;
Si le Congo est devenu pendant 52 ans la colonie d’un pays 80 fois plus petit;
Si le Congo est demeuré pendant 32 ans sous la dictature d’un minable petit soldat marionnette des Occidentaux;
Si le Congo vient de dépasser un quart de siècle ou 25 ans sous la domination d’un piètre pays sans envergure, 90 fois plus petit;
Si le Congo a été successivement dirigé par un trafiquant des rues en Tanzanie, marionnette du Rwanda et par un parfait cancre rwandais, garçon des courses en Tanzanie;
Et si actuellement, le Congo est dirigé par un parfait idiot abonné de CPAS de Bruxelles, faussaire de diplôme;
Si sans le moindre répit, le Congo se trouve toujours sous une longue prédation qui ne s’en cache plus et dans une soumission quasi esclavagiste d’un peuple en prison à ciel ouvert pendant plus de 500 ans;
Que dirons-nous ?
EST-CE LE PEUPLE CONGOLAIS, UN PEUPLE DUPE, INCONSCIENT, DOCILE OU SIMPLEMENT UN PEUPLE PRÉDISPOSÉ À LA SOUMISSION ?
La réponse à cette question doit sûrement faire mal à plus d’une conscience, surtout lorsque l’on se croit désintéressé de la politique ou que l’on se croit libre, intellectuel, insoumis, jusqu’à se prétendre résistant, révolté bien qu’évoluant dans une mouture séculaire de soumission. Être désintéressé de la vie politique et de la vie nationale de son pays est un signe caractéristique de la soumission d’un peuple. L’écrivain algérien Amin Zaoui est arrivé à la conclusion dans sa réflexion que tout peuple soumis n’est pas fait pour réfléchir mais pour se fléchir. Car, il n’y a pas de dictateur sans un peuple soumis.
Que dirons-nous donc face à la réalité qui perdure devant nos yeux et qui affecte profondément et totalement nos vies et l’avenir de notre pays et de nos peuples ?
Hier, plongés entre l’unitarisme de façade et le fédéralisme des ethnies, la vérité que personne ne voudrait entendre est que la Belgique, craignant de perdre les privilèges de sa colonie, a crée de toutes pièces des politiciens qui n’ont jamais été des véritables hommes politiques. La Belgique octroyait à la république de sa création tout ce qui lui semblait nécessaire pour garder sa colonie sous sa soumission. C’est la Belgique qui avait “conduit” le Congo de son invention à l’indépendance, même si plusieurs voudraient entendre une autre chanson à la place. C’est encore la Belgique qui a “organisé” la démocratie au Congo. Enfin, c’est la Belgique qui a mis au devant de la scène politique congolaise ses “puppets”. 67 jours après l’indépendance du Congo, le premier gouvernement congolais venait d’être renversé. Main dans la main avec les États-Unis d’Amérique, la Belgique avec l’aide et la complicité des plusieurs politiciens congolais a fait assassiner Patrice Emery Lumumba, son corps et ceux de ses deux alliés dissouts dans l’acide. 5 ans de chaos et de soubresauts politiciens conduiront le Congo au coup d’état du dictateur Mobutu, fantoche marionnette imposée par les Belges et les américains.
Hélas, tout ce qui prime en politique est question de savoir faire danser le peuple à son rythme. Aussi longtemps que l’on fera danser le peuple à son rythme, il est certain que l’on en ferait tout ce que l’on voudrait. Mais la question que nous devrions nous poser en tant que peuple supposé être souverain originaire est de savoir si nous continuerions à danser inlassablement au rythme des fantoches qui se considèrent comme politiciens, mais qui ne seront jamais des hommes politiques et des hommes d’état ?
Avec toutes les élections connues au Congo depuis l’indépendance à ce jour et plus particulièrement face aux trois dernières élections organisées dans le seul but d’imposer au peuple congolais une démocratie au rabais ou une démocrature cachant mal l’entourloupe d’une domination étrangère, je me pose tant des questions que tous les peuples congolais devraient en principe se poser, si pas tous les peuples congolais, mais la grande majorité des peuples congolais, et surtout ceux qui se proclament intellectuels ou cultivés ! Hélas, les Congolais semblent être plongés dans la lassitude politique au point qu’à la longue, ils semblent ne plus avoir d’autre choix que de se résigner et d’accepter leurs conditions comme emportés par la médiocrité qu’ils amplifient nationale et heureuse!
J’ENTENDS PLUSIEURS DIRENT: DEVOIR CIVIQUE, MAIS ÉTRANGEMENT DEVANT MES YEUX S’AFFICHENT CES MOTS: INCONSCIENCE NATIONALE!
EST-CE QUE LES ÉLECTIONS EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO VONT-ELLES CHANGER LA SITUATION POLITIQUE, ÉCONOMIQUE ET SOCIALE DU CONGO OU PEUVENT-ELLES AMÉLIORER LE QUOTIDIEN DES CONGOLAIS ?
Faudrait-il continuer de regarder le théâtre des uns et des autres comme si les Congolais n’étaient pas exterminés, comme si la destinée du Congo était celle de demeurer dans un corridor d’esclaves sans espérance d’être un jour libre ? Même si les uns veulent se persuader que le Congo est démocratique et souverain, les faits et la réalité nous démontrent sans l’ombre d’un doute que le Congo n’est jamais sorti de la domination des marionnettistes occidentaux.
Qui s’est posé la question pour savoir comment le caporal Mobutu est-il arrivé en Belgique avant Lumumba et comment a-t-il fini par se retrouver dans l’équipe de Lumumba à la table ronde ? Et voilà qu’après le chauffeur rwandais de Dar-es-salaam et la petite pègre de la “diaspourrie” accompagnant la potiche aux affaires de l’État, les prétendus résistants et intellectuels de la même “diaspourrie” projettent de nouveau devant les Congolais la candidature de Dr. Mukwege sans qu’aucun d’eux ne se pose la question de savoir d’où est-il sorti et comment a-t-il atterri sur la scène internationale ? Autrefois, l’officier belge Jean Powis de Tenbossche, cousin du roi Baudouin, le colonel Pierre Marlière et Larry Devlin, le chef de poste de l’antenne locale de la Central Intelligence Agency se vantaient dans les couloirs sur leur poulain, aujourd’hui, Louis Michel contemple de loin son poulain et le temps s’approcher pour aller “soigner ou saigner” la RDC.
Entre-temps, les Congolais continuent de chanter et de danser comme toujours!
Mais la question majeure est : Comment peut-on chanter et danser dans cette misère effroyable, devant les massacres récurrents de son propre peuple et surtout en face d’une médiocratie nauséabonde corrompue et traître à la solde de l’étranger ?
QUI IGNORE QUE CES PRÉTENDUES ÉLECTIONS COMME TOUTES LES ÉLECTIONS PASSÉES AU CONGO NE SERONT NI CRÉDIBLES NI LIBRES NI INCONTESTABLES NI TRANSPARENTES NI DÉMOCRATIQUES ?
LA RÉALITÉ EST QUE L’ENNEMI DU CONGO EST LE CONGOLAIS LUI-MÊME. ET PRINCIPALEMENT, LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE.
AU CONGO, L’HISTOIRE NE FINIT JAMAIS DE SE RÉPÉTER!”».
Jean Claude Manzueto
7 février
LES POLITICAILLEURS* ZAIRO-CONGOLAIS A RECHERCHE DE LÉGITIMITÉ La recherche de légitimité
En vue de gommer ses origines illégales, puisque issu d’un coup de force, des élections frauduleuses, d’arrangements pécuniaires obscurs” arrangements à l’africaine “ Des Présidents successifs
• Joseph Kasa-Vubu. (1960-1965)
• Mobutu Sese Seko. (1965-1997)
• Laurent-Désiré Kabila. (1997-2001)
• Joseph Kabila. (2001-2019)
• Félix Tshilombo . (2019-Présent)
Avec des discours démagogiques et des délires politico-racistes, chacun de ces régimes cherchent à acquérir une légitimité politique et constitutionnelle.
AU PLAN POLITIQUE, LE NATIONALISME ÉTANT L’IDÉOLOGIE LA PLUS POPULAIRE, L’ADOPTION DES THÈMES Y AFFÉRENTS A POUR BUT DE DONNER UNE CERTAINE ASSISE AU RÉGIME MILITAIRE, DICTATORIAL, néopatrimonial, prototype de l’État prédateur et anti-développemental
La récupération du mythe Lumumba, proclamé Héros National, les nationalisations des secteurs-clés de l’Economie : Union Minière du Haut-Katanga, eau et électricité, assurances, transports, etc… tous ces éléments entrent dans cette quête de popularité.
Les hommes politiques congolais n’ont “apporté que misère….
«La vie est 10% ce qui nous arrive et 90% comment nous réagissons» – D
«Ce n’est pas seulement l’endroit où l’on va qui donne un sens à la vie, mais aussi la façon dont on s’y rend» – Marc Lévyennis P. Kimbro
*Définition “politicailleur”
n.m. Intrigant qui tente de gagner un avantage dans une organisation de manière sournoise ; politicien arriviste et sans scrupule.
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