Lingala: Ki kamarade ya bomwana tango mosusu elekaka bondeko.

Lingala lessons in English.
lingala-institute22

Lingala Institute - Learn Lingala

Lingala: Ki kamarade ya bomwana tango mosusu elekaka bondeko.

Ki kamarade ya bomwana tango mosusu elekaka bondeko.

Friends from childhood sometimes connect better than relatives.

http://goo.gl/MQLrM4 Lingala Lessons 13 to 16
http://goo.gl/R970Zu Lingala Lessons 1 to 4
http://goo.gl/bDd35A Lingala Lessons 5 to 8
http://goo.gl/WFj2DR Lingala Lessons 9 to 12
http://goo.gl/4REG4l Lingala Lessons 17 to 20

https://plus.google.com/+JonasLusalusa/posts Our Central Google Plus Page

https://www.facebook.com/LingalaInstitute

Tags: Learn Lingala, Yekola lingala, lingala quotes, saying congolese, apprendre le lingala, tabu ley, mbilia bel, nakei nairobi,

View original post

Increasing Mai-Mai attacks in Katanga raise security risks to DRC mining operations and road cargo

Silent War Journal

1534204_-_main

IHS Jane’s Intelligence Weekly

Key Points

  • Following an amnesty law and military successes against rebel groups in North Kivu, rebel activity is shifting south to Katanga.
  • Bakata Katanga and FDLR rebel groups remain active and, under pressure from successful military advances, are likely to increase attacks on civilians and road cargo in Katanga.
  • Risks to cargo to and from Zambia, travellers and mining operations will rise in Katanga, mainly in the Pweto ‘death triangle’ but also in and around the provincial capital, Lumumbashi.

EVENT

The UN Office for the Co-ordination of Humanitarian Affairs (OCHA) warned on 23 April that the mineral-rich southern province of Katanga in the Democratic Republic of Congo was at risk of becoming a “humanitarian catastrophe” due to deteriorating security. Despite a recently passed amnesty law for rebels and army deployment against armed groups in Katanga, armed attacks by separatist ‘self-defence militia’ groups are likely to increase…

View original post 1,112 more words

[Faune] Basenji

Le basenji ou terrier du Congo est un petit chien endémique du Congo provenant du Kasaï et des régions avoisinantes. Il est le descendant direct du lévrier du pharaon et est considéré comme la race de chien pure la plus ancienne au monde.

Basenji

Le mot ‘basenjì‘ est du Cilubà. Musenjì, au singulier, désigne une personne mal élevée. Cette insulte (basenji) était fréquemment utilisée par les Balubas pour désigner les Batwas et autres peuples pigmoïdes de la région (malheureusement, les pygmés sont souvent dénigrés par les bantous et ce partout où ils se trouvent en Afrique). Le basenji, utilisé par ces peuples comme chien de chasse, était très apprécié car silencieux et efficace. Pendant longtemps, comme d’autres races de chien, le basenji était aussi mangé en sacrifice mais maintenant, il est interdit au Congo de le manger pour aider à préserver la race.

Voilà pourquoi l’homme blanc, en entendant ce mot-là, a donc bêtement appelé ce chien basenji. Son nom en Cilubà est cibelabela. Kubèla signifiant se briser, se casser entre les dents, son nom vient du fait qu’à cause de la morphologie de sa gorge, il n’est pas capable d’aboyer mais émets à la place des sons aigus distinctifs.

L’homme blanc intéressé par cette race a voulu l’introduire en Europe au début du XXème siècle (c. 1920 – 1930) mais ayant exporté trop peu de specimen, il en résulta des aberrations génétiques provoquées par la consanguinité, dont l’atrophie rétinienne et le syndrome Fanconi, pour les plus connues (et oui, ce n’est pas la faute des Congolais si votre chien est malade!!!) Par la suite, d’autres individus ont été régulièrement exportés vers l’Europe et le reste du monde.

Le cibelabela, est connu pour quelques particularités: sa propreté (il se nettoie le poil seul comme le font les chats), il pleure de vraies larmes; il sait grimper aux arbres; il est vif et aime la chaleur. C’est un chien très intelligent qui a une espérance de vie de plus de 13 ans et demi. À l’instar de la louve, la chienne cibelabela n’est en chaleur qu’une seule fois par an.

Basenji-dog-7

Le cibelabela, chien congolais par excellence, est un chien millénaire de race pure. Il appartient aux Congolais de le protéger.

Liens intéressants
Basenji Club
Basenji University

“Tingalava” by Stewart Sukuma ft. Lokua Kanza

Stewart Sukuma is a Mozambican singer-songwriter. I’m not so sure what is the language he uses here, maybe Emakhuwa or Xichangana (if you know please let me know). This video features the globally reknowned artist Lokua Kanza who sings in Swahili, one of the 4 national languages of Congo. Sukuma is a word that exists in many bantu languages. In Ciluba, Lingala and Swahili it means “push”, “rise” in Zulu,

Title: Tingalava Ny Matlahary Ya Ndzilo
Artist: Stewart Sukuma ft. Lokua Kanza
Album: Nkhuvu
Year: 2008

sukuma

Vision GRAM-International : Impunity to Justice in DR Congo 

Vision GRAM - International

Image(Ottawa, may 10) -Since the wars in DR Congo, women and girls were victims of rape and sexual violence. Acts committed in violation of international human rights law and humanitarian law. 
Efforts were made to put an end to barbaric acts committed by all armed groups. But rape cases are increasing and the authors still at large. 
Vision GRAM-International is deeply concerned by the existence of impunity and lack of justice for victims.
« In recent years, there have been some prosecutions in Congolese military courts of army soldiers and some officers allegedly responsible for crimes of sexual violence and other serious human rights abuses. Yet the vast majority of perpetrators have not been punished; many have instead been promoted or rewarded. When judicial proceedings do happen, basic international standards are often not respected, including with regard to the quality of investigations, the respect of the rights of the accused…

View original post 182 more words

Kasaï-Occidental: un lion dévore 23 animaux domestiques à Lueta

Congolese Action Youth Platform

Lion-537x358Un  lion  a dévoré vingt-trois animaux domestiques dans le secteur de Lueta dans le territoire de Luiza au Kasaï-Occidental. D’après la société civile de Luiza, c’est au cours de trois nuits successives que les vingt-trois animaux domestiques ont été dévorés. Le lion est  passé respectivement  dans les villages de Mafupa, Kalala, et Milala.

View original post 167 more words

[Interview] Lelimba wa Kutshila

PORTRAIT
Lelimba wa Kutshila : le griot de la tradition Luba

Dans la région du Kasaï d’où il est originaire, sa musique est adulée. Pure traditionnaliste, ancré dans son tshiluba natal, Lelimba wa Kutshila est une vraie star dans les cercles luba en République démocratique du Congo. Fin danseur, bon chanteur, compositeur de talent, le porte-étendard de « Bayuda du Congo » passe pour le griot de la tradition luba.

lelimbawakutshilaGrand de taille, mesurant environ 1,95 m, Lelimba wa Kutshila est un géant dans l’univers de la musique folklorique luba. Homme de spectacle, danseur aux reins agiles, il n’hésite pas, malgré sa taille, à se tortiller jusqu’au sol quand résonnent les sons du mutuashi. Bien sûr, au grand plaisir des mélomanes, généralement luba, qui prennent d’assaut les restaurants et salles de spectacle où son groupe se produit.
Sur scène, « l’Empereur de Bayuda du Congo » est physiquement très présent. On le voit généralement apparaître en baskets ou pieds nus, avec une casquette vissée sur le front. Sur sa masse impressionnante, Lelimba wa Kutshila arbore souvent un pantalon large, surmonté d’une jupe rouge et d’un ample tricot blanc, dissimulant un tee-shirt rouge aux manches longues. Et pour attirer l’attention du public sur l’agilité de ses hanches quand il exhibe les pas de mutuashi, le pionnier de Bayuda du Congo enfile autour des reins une sorte de ceinture en tissu.
A chaque concert, son groupe met le show qui fait, même sans s’y attendre, danser de nombreux fans qui se déplacent pour se divertir et voir jouer leur chanteur préféré. Certains fanatiques vont même jusqu’à envahir la scène, non seulement pour exhiber des pas du mutuashi, mais aussi pour aller coller des billets de banque sur les fronts des danseurs ou les glisser dans leurs mains. Bref, avec Lelimba wa Kutshila, le Bayuda du Congo fait du spectacle.

DU COMMERÇANT AMBULANT AU CHANTEUR DE TRAIN
Originaire du Kasaï-Occidental, Joseph Ilunga Kankolongo – c’est son nom – est né le 30 juin 1960 à Kananga, le jour même où le Congo belge accédait à son indépendance. Fils de Gustave Kankolongo et de Joséphine Kalanga, il a fait ses études pédagogiques dans sa ville natale. Après l’obtention de son diplôme d’Etat, il s’inscrit à l’école de formation des officiers, où il commence à faire de la musique. Trois ans après, il abandonne la formation pour se lancer dans le commerce.
Commerçant ambulant, Joseph Ilunga vend des articles au Kasaï et au Katanga. Pour ce faire, il emprunte le train qui lui permet de se rendre à Lubumbashi, via Dilolo (Katanga) en provenance de Kananga. Les muses de la chanson les hantent au point qu’il se met à chanter dans le train pour égayer les voyageurs.

CRÉATION DU GROUPE BAYUDA
En 1985, Joseph Ilunga forme un petit groupe de chanteurs dans les wagons qu’il sillonne. Ces artistes l’aident à chanter en utilisant juste une bouteille comme instrument. Apprécié par les spectateurs circonstanciels, le groupe est baptisé « Bayuda », sobriquet brandi pour désigner les vendeurs ambulants dans le train.
Et lorsqu’en 1987, Joseph Ilunga et ses proches arrêtent le trafic dans le train pour commencer leurs négoces dans les camions qui faisaient des voyages inter-provinciaux, ils rencontrent, sur leur route menant à Kananga, Kadiyoyo et Arc-en-ciel à Tshikapa. C’est avec ces artistes talentueux qu’ils vont consolider le groupe qui, dès lors, abandonne le commerce pour se consacrer totalement à la musique. Bien qu’amateurs, les Bayuda enregistrent des chansons sur les cassettes et les vendent.

AVALANCHE DE MALHEURS À KINSHASA
Le 28 décembre 1992, le groupe arrive à Kinshasa avec l’aide de Badibanga, un producteur providentiel. Il change de nom et devient le Bayuda du Congo. Les premières prestations dans la capitale captivent les Kinois et le groupe arrive à mobiliser 17.500US$, assure Lelimba. Mais, leur joie est de courte durée. Désabusés, les artistes sont escroqués par le producteur qui s’évapore avec la somme d’argent abandonnant le groupe, regrette Joseph Ilunga.
« Nous nous sommes retrouvé abandonnés à Kinshasa, sans familles ni amis, déplore Lelimba wa Kutshila. C’était trop dur, à tel point que nous avons perdu une de nos danseuses qui, n’ayant pas supporté la souffrance, a décidé de toucher aux grigris. Elle a fini par devenir folle ».

DES ALBUMS EN CASCADE
Après cette épreuve douloureuse, le Bayuda du Congo trouve un nouveau producteur : M. Mazambi. Grâce à son implication, le groupe se réorganise et réalise son premier album : « Tshiolilo ». L’album est bien accueilli à Kinshasa, en RDC et à l’étranger, permettant au groupe de mieux se faire connaître.
Dans les années qui suivent, le Bayuda du Congo enchaîne des albums à succès : Grand Kasaï (2004), Lac Mukamba (2006), Union fait la force (2007)… Après sept ans sur le marché du disque, le groupe s’apprête à larguer un nouvel album qui sera intitulé « Nzolo katondi ». Les artistes fidèles à Lelimba sont présentement en studio pour la préparation de cet opus qui sort au cours de ce mois de mai.

DANS LA COUR DU ROI
Très actifs, les artistes de l’« Empereur de Bayuda du Congo » jouent tous les vendredis, samedis et dimanches dans quelques restaurants de la capitale (Free Box, Miss belle, Willy Les honnêtes). Mais, ils ne sont plus au grand complet comme à Tshikapa, Wemba Kadiyoyo ayant quitté l’ensemble pour évoluer ailleurs et Arc-en-ciel étant décédé.
Fier du passé glorieux, Lelimba se souvient encore du périple que son groupe avait effectué en Europe en 2001. Le Bayuda du Congo était alors reçu par le Roi Albert II de Belgique qui a retenu le groupe au délà de trois mois reglementaires, raconte-t-il. Le séjour s’est prolongé jusqu’à trois ans. Mais au moment du retour, seuls cinq musiciens sur les 18 du groupe sont rentrés en RDC et les autres sont restés en Europe après avoir eu leurs papiers.

SOMBO KAPINGA, LE PILIER DU PATRON DE BAYUDA DU CONGO
Si l’évasion de ses musiciens et le périple tumultueux de son groupe troublent encore sa conscience, Joseph Ilunga Kankolongo se console auprès de son épouse qui lui sert de soutien indéfectible lors de dures épreuves. Avec leurs cinq enfants, dont trois filles et deux garçons, Sombo Kapinga Chouchou et son époux tâchent de consolider leur foyer, en misant notamment sur la prière.
« J’apprécie beaucoup les chansons de mon mari, commente Sombo Kapinga. Il prodigue des conseils à ses nombreux fanatiques. Il suffit juste de les écouter pour comprendre les messages. C’est pourquoi je le soutiens, et surtout à travers mes prières, parce que le monde de la musique est plein de mystères. Ce n’est pas tout le monde qui est content de son exploit ! ».
Soucieuse du bien-être de son mari, Chouchou Sombo se plaît à lui préparer le ‘’bidja’’ (fufu, pâte de farine de maïs) au ‘’ndakala’’ (frétins) ou ‘’mikebuka’’ (poissons fumés), associés au ‘’dongo-dongo’’ (ibiscus). Pas étonnant qu’après ce plat qu’il délecte tant, Lelimba wa Kutshila se mette à frédonner quelques refrains de Madilu ou de Pepe Kale. Ses vedettes favorites. Et si l’occasion le permet, il va se régaler en regardant les matches de football ou les combats de catch et de karaté.

Auteur: Claudia Mianda/Stagiaire de l’IFASIC & Yves KALIKAT
Article Source
Kàsaayì munène kumpàla kwà byônso

At Least 15 Dead In Congo Soccer Stadium Stampede

Black America Web

KINSHASA, Congo (AP) — A stampede at a soccer stadium in Congo’s capital on Sunday killed at least 15 people and injured more than a dozen, government officials said.

The stampede at the Tata Raphael Stadium in Kinshasa happened toward the end of a match between two popular Congolese teams, AS Vita Club and TP Mazembe, according to a statement from the Interior Ministry read on national television late Sunday.

At least 21 people were injured during the melee, said Gov. Andre Kimbuta, who has set up a commission to investigate the incident.

Witnesses told U.N.-backed Radio Okapi that police fired tear gas into the crowd after angry fans threw objects onto the field in the final minutes of the match on the last day of the league season. The home team, AS Vita, was losing 1-0.

The stampede then caused a recently restored wall and gate to collapse, African…

View original post 215 more words